Barbara Valla - Diététicienne Nutritionniste

Diplômée en diététique, je vous accompagne pour gérer votre poids, en cas d’alimentation végétar(l)ienne, réduire vos troubles digestifs ou équilibrer votre diabète. Également diplômée en nutrition du sportif, je vous conseille afin que l’alimentation soit l’alliée de vos performances

Qui suis-je ?

Diplômée en diététique, je vous accueille dans mon cabinet à Lyon.

Auparavant titulaire d’un master en arômes alimentaires, j’ai décidé de me réorienter vers la nutrition afin de me rapprocher de l’humain. Aujourd’hui, j’aime partager mes connaissances scientifiques mais aussi promouvoir le plaisir de bien manger. Mes prises en soin sont très orientées vers le comportement alimentaire afin que les conseils donnés ne soient pas vécus comme un régime imposé mais un nouvel équilibre apportant sérénité et bien-être.

Egalement passionnée de sport, je suis diplômée en nutrition du sportif (D.U. Nutrition et Activités Physiques et Sportives, Paris-Descartes).

Formée à l’alimentation pauvre en FODMAP et à l’alimentation des MICI avec l’Association François Aupetit (AFA), je prends en charge les pathologies digestives.

Les recherches sur la nutrition et l’alimentation évoluent continuellement. Afin de rester informée, je me forme régulièrement et suis membre de l’Association Française de Diététique et Nutrition et de l’Association des Diététiciens Libéraux.

Le titre de diététicien est protégé par la loi L2007-127, il nécessite l’obtention d’un BTS diététique ou d’un DUT option diététique.

barba ravalla

Mes réseaux partenaires

Qu’est ce qu’un(e) diététicien(ne) ?

Le diététicien est un professionnel de santé, dont les connaissances sont sanctionnées par un diplôme (BTS diététique ou d’un DUT option diététique).

L’accompagnement par un(e) diététicien(ne) qualifié(e) est le moyen le plus efficace pour atteindre vos objectifs sans risque pour votre santé. Il est là pour vous soutenir et vous encourager dans votre démarche.

Mes connaissances sur la nutrition et les aliments ainsi que mon sens de l’écoute, me permettent de vous guider vers l’équilibre alimentaire qui vous correspond, en vous donnant des conseils personnalisés sur vos choix alimentaires et en vous proposant si besoin des recettes adaptées à vos goûts et vos envies.

Qu’est ce que la diététique ?

La diététique c’est l’art de bien manger mais également, selon Hippocrate, une médecine à part entière.

L’équilibre alimentaire joue un rôle prépondérant sur la santé et le bien-être. Une alimentation saine peut prévenir ou corriger les surcharges pondérales et certaines pathologies qui lui sont liées telles que le diabète, les maladies cardiovasculaires, hypercholestérolémie…

Une alimentation adaptée permet aussi d’apporter les nutriments adéquats à certains états physiologiques (croissance des enfants et adolescents, grossesse, allaitement, vieillissement…) ou conditions de vie (activité physique plus ou moins intense, choix d’une alimentation sans produits animaux…)

Pour qui ?

Perte de poids

Alléchés par les propositions de certains auteurs ou magazines, vous avez déjà suivi plusieurs régimes mais sans succès. Aujourd’hui, vous avez décidé de perdre du poids pour vous-même ou pour des raisons de santé mais cette fois de façon durable ?
En tant que diététicienne, je rééquilibre votre alimentation et vous soutien dans ce projet. Au fil des recommandations données vous reprenez de bonnes habitudes alimentaires, sans frustration, afin de retrouver la silhouette dans laquelle vous vous sentez bien.

En tant que diététicienne, je rééquilibre votre alimentation et vous soutien dans ce projet. Au fil des recommandations vous reprenez de bonnes habitudes.

Sportifs et sportives

Vous pratiquez une activité physique de façon occasionnelle ou à un haut niveau et vous sentez qu’une meilleure alimentation pourrait vous aider à optimiser vos entraînements et vos performances lors des compétitions ?
Spécialisée dans la prise en charge des sportifs (D.U. Nutrition du sportif Paris-Descartes), je vous apporte des conseils en fonction de vos entraînements et compétitions, de vos objectifs, des contraintes liées à votre planning, des exigences liées à votre catégorie de poids, de votre souhait de perte de poids ou de masse grasse, de vos choix alimentaires…

Spécialisée dans la prise en charge des sportifs, je vous apporte des conseils en fonction de vos entraînements et compétitions.

Régimes thérapeutiques

Certaines pathologies comme le diabète, l’hypercholestérolémie, l’hypertension artérielle ainsi que leurs conséquences peuvent être évitées en adoptant des habitudes alimentaires spécifiques, permettant d’améliorer les symptômes et de réduire au maximum la consommation de médicaments.
Si l’une de ces pathologies vous est diagnostiquée par votre médecin, je prends le temps de vous expliquer son fonctionnement et met en place avec vous des stratégies alimentaires permettant d’améliorer votre quotidien en réduisant les symptômes de la maladie.

Je mets en place avec vous des stratégies alimentaires permettant de réduire les symptômes associés à votre pathologie et d’améliorer votre quotidien.

Je suis membre du réseau Paris Diabète

Troubles digestifs

Vous soufrez d’un syndrome de l’intestin irritable (ou colopathie fonctionnelle) ou d’une maladie inflammatoire chronique de l’intestin qui vous rend la vie difficile et accompagnée de douleurs.
Ensemble, nous recherchons les solutions alimentaires les plus adaptées à votre situation pour améliorer votre qualité de vie. Formée à la méthode du régime pauvre en FODMAPs, je vous en explique les principes et comment le mettre en pratique.

Ensemble, nous recherchons les solutions alimentaires les plus adaptées à votre situation pour améliorer votre qualité de vie.

Régimes végétar(l)iens

Vous souhaitez réduire votre consommation de produits animaux (viande, poisson, œuf, produits laitiers…) ou supprimer ces produits de votre alimentation. Vous êtes conscients que les nutriments qu’ils apportent (notamment protéines, fer, calcium, vitamine B12) doivent être trouvés ailleurs, mais où… ?

Je vous accompagne dans cette démarche afin que votre nouvelle alimentation vous apporte tous les nutriments nécessaires à une bonne santé.

Je vous accompagne afin que votre nouvelle alimentation vous apporte tous les nutriments nécessaires à une bonne santé.

Femmes enceintes

Pendant la grossesse le corps est soumis à de multiples changements. Outre la prise de poids inévitable, certains aliments sont parfois à éviter pour la sécurité du bébé.
Je vous aide à limiter la prise de poids au cours de cette période et vous donne les conseils nécessaires afin que les repas ne deviennent pas une contrainte mais restent un moment de plaisir. Je vous conseille également sur l’alimentation de votre enfant avant ses 3 ans.

Je vous aide à limiter la prise de poids et vous donne les conseils nécessaires afin que les repas ne deviennent pas une contrainte.

Enfants et adolescents

Les enfants et adolescents en pleine période de croissance ont des besoins spécifiques qui doivent être respectés. La découverte de nouvelles saveurs est une étape importante dans la diversification de leur alimentation.
L’éducation gustative et nutritionnelle est donc un aspect essentiel que j’aborde avec eux en consultation afin qu’ils prennent de bonnes habitudes pour aller vers l’équilibre alimentaire.

Consultations

1ere consultation : bilan alimentaire

J’accorde énormément d’importance au plaisir de manger, c’est pourquoi je travaille avec vous pour établir une stratégie alimentaire personnalisée basée sur :

Pour les sportifs, ces plans évolueront en fonction des périodes d’entraînement ou de compétition. La composition corporelle des sportifs peut être évaluée par la méthode de la pince à plis cutanés.

Consultation de suivi

Ensemble nous faisons le point sur les objectifs fixés lors de la 1e consultation : atteintes des objectifs fixés au départ, difficultés rencontrées, interrogations et modifications éventuelles du plan alimentaire.

Selon vos attentes et besoins, nous pouvons aborder différents thèmes tels que : l’alimentation en période de fêtes, les repas à la cantine ou les sorties au restaurant, la liste de courses, les protéines végétales et animales pour des repas variés, bien choisir ses lipides, les repas riches en antioxydants…

Ces consultations de suivi, dont la fréquence varie entre 3 et 6 semaines en fonction de vos besoins, vous permettront de devenir autonome et acteur de votre santé. Ainsi, vous apprendrez à gérer vos habitudes afin de conserver un équilibre alimentaire sain et non contraignant.

Des forfaits de suivi peuvent également être proposés.

Ateliers en entreprise

Ateliers “Alimentation et Nutrition en entreprise” :

La nutrition joue un rôle important dans la santé et le bien-être, mais les salariés n’ont pas toujours le temps de se préoccuper de cet aspect.

Sur le temps de la pause déjeuner, j’organise une session de 1h à 2h sur des thèmes variés tels que :

Au cours de ces interventions, une dégustation en lien avec le thème présenté est proposée.

A l’issu de cette session, des consultations diététiques individuelles peuvent être organisées, dans le respect de la confidentialité.

ACTUALITÉS

COVID-19 | REPRISE D’ACTIVITÉ

COVID-19 reprise d’activité dès la fin du confinement… En application des consignes du Gouvernement, réouverture prochaine de mon cabinet situé 44 rue Raulin, Lyon 7e !

En raison d’un agenda chargé, ouverture des premiers créneaux pour des rendez-vous physiques au cabinet, à partir du lundi 25 mai. Du 11 au 22 mai, vous pouvez prendre rendez-vous pour une téléconsultation. N’hésitez pas à consulter mon agenda Doctolib ou bien à me contacter directement.

NOUVELLE ORGANISATION…
… mise en place afin de respecter les gestes barrières et la protection de chacun face au virus COVID-19 :​

Au plaisir de vous retrouver prochainement ! 🙂

L’OBÉSITÉ CHEZ LES ADOLESCENTS EN AUGMENTATION – INTERVIEW C NEWS AVEC Barba Ravalla

Sujet : L’obésité chez les adolescents en augmentation depuis plusieurs années. 18% cette année avec une plus forte prévalence dans les familles défavorisées.
Il est peut-être temps de revenir à des choses simples.
Et vous que proposez-vous à vos enfants pour leur petit déjeuner ou goûter ?

ALIMENTATION ET CHALEUR, ADOPTEZ LES BONS RÉFLEXES

Que faire pour votre bien être lorsque les températures augmentent ? Votre corps doit bien être hydrater mais vous devez également bien vous alimenter par temps chaud pour une forme optimale.

QUE MANGEAIENT LES PARISIENS AU MOYEN-ÂGE ?

Vous êtes-vous déjà demandé ce que mangeaient nos ancêtres, ces Parisiens qui ont foulé les rues pavés de l’île de la Cité à l’époque de la construction de Notre-Dame-de Paris et de la Sainte-Chapelle ? De la blanquette de veau, un navarin d’agneau ou des bouchées à la reine ? Rien de tout ça ! On vous dit tout sur l’alimentation de nos ancêtres médiévaux.

Il n’y a ni pommes de terre ni riz ni pâtes. La pomme de terre n’arrive en Europe qu’au XVIe siècle, à peu près en même temps que les pâtes qui commencent doucement à s’implanter en France après le mariage de Catherine de Médicis avec Henri II. Si le riz est mentionné dans des écrits dès 1393, il s’agit encore d’un produit d’importation que l’on trouve en faible quantité et qui est réservé aux grands seigneurs. La démocratisation de ce produit venu d’Asie ne surviendra qu’au XXe siècle.

On consomme jusqu’à 1 kg de pain par jour. Le pain, la plupart du temps confectionné à partir de farine de seigle, est l’aliment-roi dans toutes les maisons. On consomme des quantités faramineuses de ce pain qui n’est pas encore une baguette (elle n’arrivera qu’au XIXe siècle), mais une grosse miche ronde, compacte et non salée. Contrairement aux campagnes où l’on fait son pain soi-même, à Paris, ce sont des boulangers – souvent appelés talemeliers – qui le préparent.

Le peuple mange peu de viande. Au Moyen-Âge, la nourriture est un marqueur social très fort et les différentes couches sociales ne mangent pas du tout la même chose. Les nobles se réservent les gros gibiers et les gros volatiles, tandis que le peuple se contente de petits oiseaux (pigeons, merles, etc.) et de lapins de garenne. La viande la plus consommée reste néanmoins le porc. Aussi, on mange peu les « animaux producteurs » (agneau, mouton, vache ou poule) et encore moins du bœuf, animal de trait par excellence. Dans tous les cas, les viandes sont traitées par salaison, séchage ou fumage afin d’être conservées.

Le poisson est particulièrement consommé par les Parisiens. Si, dans les campagnes françaises, le poisson n’est pas forcément démocratisé, à Paris, il s’agit d’un aliment très consommé, notamment lors des jours maigres imposés par l’Église. La présence de la Seine et du chemin de la Marée permet en effet aux habitants de se fournir facilement en poisson, venu du nord de la France. Le hareng, fumé ou salé, est le poisson de prédilection du peuple.

On apprécie les saveurs amères. Au Moyen-Âge, on accompagne souvent les préparations culinaires par des sauces que l’on cuisine séparément et que l’on mange avec la viande ou le poisson. Ces sauces sont très éloignées de celles que l’on connait aujourd’hui. Elles ne sont pas préparées avec de la crème, de la farine ou du beurre, mais avec du vinaigre ou du verjus, un jus acide extrait des raisins verts. Cela donne à la cuisine médiévale une saveur très amère, voire acide.

Tomates, courges, poivrons ou potirons ne sont pas encore arrivés jusqu’à Paris. Au début de la Renaissance, une grande partie des légumes qui sont à la base de notre alimentation ne sont pas encore implantés en France. La plupart viennent d’Amérique du Sud et n’arriveront dans les assiettes des Européens qu’au XVIe siècle. À cette époque, ce sont les fèves et les pois qui constituent la base de l’alimentation en terme de légumes, car ils sont très nourrissants et accessibles au plus grand nombre.

On compense le manque de variété des aliments par les aromates et épices. Les Français du Moyen-Âge sont des grands consommateurs d’aromates. Les sauces, mais aussi les plats, sont presque toujours relevés par des herbes fines et des épices (clou de girofle, laurier, ciboulette, romarin, etc.). Ces petits suppléments végétaux sont également incorporés aux préparations culinaires pour leurs vertus médicinales.

Plus les légumes poussent près du sol, plus ils sont considérés comme souillés. À cause de cette idée largement répandue, les nobles ne touchent presque jamais aux navets ou aux carottes, des racines qui poussent dans le sol. Le peuple, par contre, n’a guère le choix et en mange beaucoup, car ce sont des produits peu chers et facilement cultivables.

Des cuisiniers ambulants fournissent les voyageurs et ceux qui n’ont pas de cuisine. Nombreux sont les Parisiens à ne pas avoir de lieu pour faire la cuisine. Aussi, dans les rues de Paris, on trouve de nombreux petits traiteurs ou marchands ambulants qui proposent des plats préparés, similaires à ceux que peuvent cuisiner les Parisiens chez eux. Les pâtés de viande, tripes de porc, tourtes, potages et ragoûts sont les mets que l’on retrouve le plus souvent.

LES JUS DE FRUITS À CONSOMMER AVEC MODÉRATION

Les recommandations en matière de nutrition ont changé. Moins de produits laitiers, moins de viandes, plus de produits riches en fibres et notamment plus de légumineuses…

Pour le sucre, facteur d’obésité, pas de changements, il reste un produit à limiter. Ainsi, certains produits comme les fruits sont bons pour la santé mais les jus issus de ces fruits sont malgré tout à consommer avec modération. Quelques explications :

#LaMatinaleInfo – Conseil #santé : « Un jus de fruit par jour, pas plus ». Barba Ravalla explique pourquoi https://t.co/3NhWuS7be9 pic.twitter.com/TMDo9W4ShU
— CNEWS (@CNEWS)

Les fruits et jus de fruits pressés sont bons pour la santé car riches en vitamines, minéraux et fibres. Il est cependant nécessaire de les limiter car ils sont très sucrés et les jus de fruits sont parfois bus inconsciemment en quantité trop importantes. Il convient également de bien choisir ses jus de fruits pour favoriser les produits les plus riches sur le plan nutritionnel.

QUELQUES EXPLICATIONS SUR LE JEÛNE

Le jeûne connaît un succès croissant mais les évaluations scientifiques sérieuses manquent. Si l’on commence à mieux connaître les effets de la privation sur l’organisme, force est de rester prudent. Et il y a des risques de reprise de poids.

Bien manger… mais parfois ne plus rien manger du tout pendant plusieurs heures ou plusieurs jours. Juste boire. Le jeûne, auquel nous avions consacré un dossier (S. et A. n° 820, juin 2015), est de plus ne plus pratiqué. Les déclinaisons (complet, partiel, intermittent) varient selon les motivations et profils des jeûneurs, aguerris ou débutants. Cette pratique, surtout à visée préventive, n’est pas proposée en France dans un cadre thérapeutique. L’idée est de mettre le système digestif en « pause » au cours d’une cure « détox », afin de « purifier » l’organisme des toxines qui s’y seraient accumulées. L’Inserm, qui n’a recensé que quatre études internationales, appelle à en conduire d’autres pour évaluer cette pratique. En revanche, les mécanismes par lesquels l’organisme s’adapte à la privation d’aliments sont mieux connus. Retour sur les quatre phases du jeûne alimentaire.

Première phase : l’adaptation

Pendant les premières heures, le corps se retrouve privé de son carburant essentiel, le glucose. Il puise alors dans ses réserves stockées dans le foie sous forme de glycogène. Celles-ci étant rapidement consommées (16 heures après le dernier repas), le taux de sucre dans le sang (glycémie) s’abaisse, ce qui occasionne souvent maux de tête, fatigue, insomnies et nausées. Le cerveau sécrète alors des hormones (cortisol, adrénaline) pour restaurer au mieux ce taux.

Deuxième phase : la production de sucres en interne

Rapidement, les réserves de sucres sont épuisées. L’organisme prélève alors dans les graisses stockées dans le tissu adipeux, soit 10 kg chez un adulte de poids moyen. Celles-ci commencent à fondre, au rythme d’environ 300 g par jour. Mais certains tissus dits gluco-dépendants (cerveau, moelle osseuse, cellules du sang) ne s’accommodent pas de ce plan B. Une voie alternative se met en place (néoglucogenèse) pour fournir l’indispensable sucre à partir d’acides gras présents dans les graisses mais aussi de protéines des muscles.

Troisième phase : limiter la perte de protéines

Un autre processus s’active alors pour limiter la perte des protéines : la production de corps cétoniques (cétogenèse). Ces substances (acétone, acide acétylacétique, acide bêta-hydroxybutyrique) proviennent de la dégradation par le foie et les reins des acides gras et des acides aminés. Elles sont utilisées à la place du glucose par le cerveau et se révèlent être de puissants stimulants de la vigilance, et mettent terme à la sensation de faim. Elles se combinent aux hormones (adrénaline, cortisol, endorphine), ce « cocktail euphorisant » permettant aux jeûneurs de prolonger l’expérience. Mais attention : au-delà de quarante jours en moyenne, le pronostic vital est en jeu.

Quatrième phase : une réalimentation progressive

C’est le temps de la reprise alimentaire, progressive, car l’estomac s’est adapté à la privation et des nausées surviennent en cas de surcharge alimentaire. Mais, avertit le Dr Lionel Coudron dans son ouvrage Le Guide pratique du jeûne (Terre Vivante, 2017), le risque de reprise rapide des kilos perdus plane sur ce moment délicat.

Article écrit par Sylvie Riou-Milliot, Spécialiste santé au magazine Sciences et Avenir

LES DANGERS DES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES POUR SPORTIFS

Certains compléments alimentaires vendus aux sportifs pour « développer leurs muscles » ou « diminuer leur masse graisseuse » font courir des risques à leurs utilisateurs pour un bénéfice non démontré, a averti ce 20 décembre l’Anses.

Dans un avis publié ce 20 décembre, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) observe que 49 signalements d’ »effets indésirables susceptibles d’être liés à la consommation » de compléments alimentaires « pour sportifs » ont été signalés depuis 2009 [1].

Les substances visées par les signalements sont de nature très différentes : pour les produits visant l’augmentation de la masse musculaire, il s’agit par exemple de la créatine, les protéines du lait (lactosérum et caséines) et la DHEA. Pour les produits présentés comme « brûleurs de graisse », il s’agit notamment de divers extraits de plantes et de nutriments comme la choline et la L-carnitine.

Les effets secondaires recensés, « potentiellement graves » pour certains, sont majoritairement d’ordre cardiovasculaire (tachycardie, arythmie et accident vasculaire cérébral) et psychique (troubles anxieux et troubles de l’humeur).

Au regard de ces signalements, l’agence « déconseille l’usage de ces compléments alimentaires aux personnes présentant des facteurs de risque cardiovasculaire » ou souffrant d’une maladie cardiaque, d’une insuffisance rénale, d’une altération des fonctions du foie ou de troubles neuropsychiatriques. Elle les déconseille également « aux enfants, adolescents et femmes enceintes ou allaitantes« .

Des promesses sans preuves
Par ailleurs, l’Anses critique « l’absence de données d’efficacité scientifiquement démontrée » de ces produits, dont les vendeurs vantent pourtant souvent les qualités de « brûleurs de graisse » ou de « volumisateurs » des muscles.

En outre, avertit l’agence, « l’achat sur internet expose de facto davantage le sportif à la consommation de compléments alimentaires frauduleux » ou altérés, « susceptibles de conduire à des contrôles anti-dopage positifs et d’induire des effets sur la santé« .

Caféine : attention !
L’Anses déconseille également la consommation de compléments alimentaires contenant de la caféine « avant et pendant une activité sportive« , ainsi que « la consommation concomitante de plusieurs compléments alimentaires ou leur association avec des médicaments« .

L’organisme sanitaire rappelle par ailleurs la nécessité de prendre conseil auprès d’un professionnel de santé avant de consommer des compléments alimentaires.

[1] Date de la mise en place d’un dispositif national de vigilance.

Article par la rédaction d’Allodocteurs.fr, avec AFP

LA PREUVE SCIENTIFIQUE QUE LES RÉGIMES FONT GROSSIR

Plus on suit de régimes plus l’indice de masse corporelle augmente. Cette étude réalisée sur des jumeaux le vérifie en écartant le facteur génétique. La relation entre prise de poids et régimes restrictifs est faible mais significative.

Plus on suit de régimes plus l’indice de masse corporelle augmente. Cette étude réalisée sur des jumeaux le vérifie en écartant le facteur génétique. La relation entre prise de poids et régimes restrictifs est faible mais significative.Cette étude finlandaise a été menée sur 4129 jumeaux suivis de 16 à 25 ans. Elle tenait compte de l’évolution du poids, de la taille mais aussi des habitudes de vie, de l’activité physique, du niveau de santé et de l’IMC des parents.

Le risque d’être en surpoids à 25 ans (IMC ≥25kg/m²) était significativement plus important chez les hommes et femmes qui avaient suivi un ou plusieurs régimes comparés à ceux qui n’en avaient jamais suivi. L’ajustement sur les facteurs de confusion ne change pas les résultats.

Chez les paires de jumeaux « concordantes » (dont les deux membres avaient connu ou non des pertes de poids volontaires), l’évolution de l’IMC de 16 à 25 ans était identique. Chez les paires de jumeaux « discordantes » (dont un seul des deux membres avait connu une ou plusieurs pertes de poids volontaires), l’IMC du jumeau ayant suivi des régimes augmentait légèrement mais significativement plus que l’IMC de celui n’ayant pas suivi de régimes.

Les épisodes de restriction calorique augmenteraient donc la prise de poids indépendamment des autres facteurs. Les auteurs précisent que des études complémentaires sont nécessaires pour confirmer ces résultats.

C’est une remise en question des régimes alimentaires restrictifs et de la pression environnante qui pousse à les entreprendre.

Pietiläinen KH, Saarni SE, Kaprio J et col. (2012) Does dieting make you fat ? A twin study, International Journal of Obesity; 36:456-464

JUDO, 10 BIENFAITS INSOUPÇONNÉS

Le judo est certes, bon pour le physique, mais il influe aussi sur notre comportement, notre bien-être et notre self-control en société. Voici 10 bienfaits insoupçonnés du judo :

1/ Le judo sculpte les abdos

Travailler ses abdos sans avoir à les solliciter directement, c’est nettement plus agréable. Le judo a cette faculté puisqu’il fait travailler toutes les parties de la sangle abdominale : lors de l’entrainement et de l’échauffement, mais aussi lors des combats (randori) quand il faut soulever son partenaire ou contracter pour que ce dernier ne vous retourne pas.

2/ Le judo transmet la force mentale, la maîtrise de soi

Avec le judo, on est maître de son corps et de son esprit. On alterne entre force tranquille et détermination sans faille, calme et réactivité. Ce sport permet une maîtrise de soi incontestée et une zénitude à toute épreuve puisqu’il ne faut pas se laisser envahir par ses émotions : en cas de « faiblesse », vous êtes certain que l’adversaire prend le dessus. Il y a le corps et l’esprit, le tout est d’allier les deux avec tact.

3/ Le judo fait office d’anti-stress

Généralement, tous les sports défoulent et offrent un moment d’évasion pour décompresser. Le judo est tel, qu’il ne laisse pas de place au stress. Avant tout parce qu’il l’évacue très vite de manière physique, mais aussi parce qu’il exige de gérer ses émotions. Ainsi, les angoissés ou les anxieux pourront évacuer leurs sentiments par le physique en se donnant à fond et par la tête en apprenant à considérer son adversaire et à ne pas se focaliser sur soi.

4/ Le judo renforce des muscles insoupçonnés

Il n’y a pas à dire, le judo ça sculpte. Et ça sculpte bien ! Tous les membres du corps étant sollicités pour diverses raisons, le sport nippon est très égalitaire contrairement à d’autres sport comme le vélo ou le tennis où seules certaines parties du corps travaillent. Le judo fait travailler des muscles qu’on ne peut pas faire travailler à la salle de sport.

5/ Le judo améliore le sens de l’équilibre

Tomber, c’est la pire chose qui puisse arriver en pratiquant le judo en compétition. Cependant, à l’entrainement, on apprend à chuter. Le sport donne une notion de l’espace différente où l’on s’approprie son terrain, où l’on apprend à travailler ses appuis, à avoir les pieds à la fois mobiles et bien ancrés dans le sol. Et ça se ressent physiquement, dans la vie de tous les jours hors du dojo.

6/ Le judo favorise l’auto-défense

Si vous n’avez pas beaucoup de réflexes, le judo vous apprendra à être très à l’affut de tout ce qui vous entoure. Pour une femme, le judo apporte une réelle confiance en soi, en son corps et en ses capacités. Savoir se défendre en cas d’agression dans la rue est toujours un plus.

7/ Le judo est un art martial cardio

Qui dit cardio dit cœur en bonne santé et corps sculpté uniformément.

8/ Le judo inculque des valeurs

Le judo véhicule des valeurs fondamentales qui s’imbriquent les unes dans les autres pour édifier une formation morale. Le respect de ce code moral est la condition première de la base de la pratique du judo. Les valeurs sont : l’amitié, le courage, la sincérité, l’honneur, la modestie, le respect, le contrôle de soi, la politesse.

9/ Le judo apporte une sérénité

Lorsqu’on connait bien son corps et ses capacités, l’esprit est forcément plus apaisé puisqu’on se sent bien dans son environnement. Après une séance de judo, on a ce sentiment de légèreté qui s’exprime par deux aspects : le corps s’est lâché, il s’est exprimé, et l’esprit s’est évadé et a oublié tous les tracas du quotidien.

10/ Le judo aide dans la vie professionnelle et personnelle

Le self-control, ça n’est pas dû à tout le monde. Dans la vie de couple on a souvent tendance à réagir au quart de tour, à ne pas prendre assez de recul, et ça peut aussi arriver au travail. Avec un judoka, vous n’aurez pas ce problème. Le/la judoka est zen, attentif, optimiste et apaisé.

Article par Katia Fache pour MarieClaire.fr

RECETTES

POUR LA RÉCUPÉRATION APRÈS L’EFFORT : CAKE CHOCOLAT BANANE

Après l’effort le réconfort… Mais pas avec n’importe quel aliment ! Le cake chocolat banane avec ou sans œuf permet d’obtenir la juste quantité des nutriments nécessaires à cette période de l’entraînement. A accompagner éventuellement avec un fromage blanc.

Ingrédients, pour 6 personnes :

Recette végétarienne, hyperprotéinée (11 g par part) et riche en glucide (40 g par part environ)

SAUCE AU FROMAGE FRAIS

La saison des apéros dînatoires pour l’été est lancé, place aux recettes des sauces !

DIP DE FROMAGE FRAIS

Ingrédients :

Pour 4 personnes. Temps de préparation : 10 minutes.

4 carrés frais (0% MG*)
1 cuillère à soupe de fromage blanc (0% MG*)
1 cuillère à café de jus de prune fermenté (magasin bio ou asiatique)
Ciboulette
1 cuillère à café de moutarde
Sel, poivre
Préparation :

Mélanger tous les ingrédients et c’est prêt !

DIP DE FROMAGE FRAIS version « relevée »

Ingrédients :

Pour 4 personnes. Temps de préparation : 5 minutes.

Mélanger tous les ingrédients et c’est prêt !

*Certaines de ces recettes étant composées d’aliments riches en vitamine D (sardines, thon, fromage…), il est possible de remplacer le fromage blanc ou le yaourt par du fromage blanc/yaourt à 0% de matières grasses (MG) pour alléger ces recettes.

Toutes ces recettes peuvent se servir avec du pain de seigle/complet en tranche ou des bâtonnets de légumes (carottes, concombre, navet, chou-fleur, champignons crus…)

KTIPITI, SAUCE AU POIVRON

Voilà une sauce pour l’apéro au goût soutenu et qui change des classiques !
KTIPITI

Ingrédients

Placer le poivron sous le grill à 200°C pendant une dizaine de minutes jusqu’à ce que la peau commence à noircir. Enlever la peau qui va se détacher très facilement, et l’épépiner. Laisser refroidir. Dans un mixer placer le poivron avec tous les autres ingrédients et mixer

Toutes ces recettes peuvent se servir avec du pain de seigle/complet en tranche ou des bâtonnets de légumes (carottes, concombre, navet, chou-fleur, champignons crus…)

ROULÉ AU SAUMON ET ÉPINARDS

L’été est bien là, place aux apéritifs dînatoires avec cette recette gourmande pleine de fraîcheur !

Ingrédients :

Pour 6 personnes. Temps de préparation : 30 minutes. Temps de cuisson : 15 minutes

Allumer votre four à 180°, thermostat 6.

Bien égoutter les épinards et les battre en omelette avec les œufs; saler et poivrer. Étaler la préparation avec une fourchette sur une plaque à pâtisserie. Mettre au four pendant 15 min.

A la sortie du four, étaler le boursin sur le roulé bien chaud, et le recouvrir de saumon fumé. Le rouler pendant qu’il est chaud et laisser refroidir au frais pendant 2 h. Pour la sauce, mélanger la crème avec l’ail, le jus de citron, la ciboulette, sel et poivre.

GUACAMOLE

Ingrédients

Pour 6 personnes. Temps de préparation : 10 minutes.

Émincer l’oignon frais et les feuilles de coriandre.

Écraser l’avocat, ajouter l’oignon, la coriandre, le jus d’un (ou 2 selon les goûts) citron et salez.

SOUPE DE FANES DE CAROTTES

En hiver, la variété des légumes est restreinte… Choux de toutes les couleurs, poireaux, carottes et potimarron, c’est déjà pas mal mais il y a de quoi se lasser de l’éternelle soupe poireau-pomme de terre et d’oublier de les consommer. Même si de nombreuses recettes existent pour décliner ces légumes, changer le goût des plats ça fait du bien pour rompre la routine ! Et puis, pourquoi jeter la moitié de ma botte de carottes… ?

Ingrédients :
Pour 4 personnes. Temps de préparation : 20 mn. Temps de cuisson 30 minutes

Préparation :
Laver les fanes de carottes et les couper très grossièrement.
Eplucher les pommes de terre, les couper en dès.
Faire fondre le beurre dans une cocotte. Une fois fondu, y faire revenir l’oignon émincé pendant 2 mn à feu assez fort.
Ajouter les dés de pommes de terre avec les fanes. Faire revenir l’ensemble 5 bonnes minutes.
Y verser 1/2 litre d’eau, le bouillon, sel, poivre.
Dès que la préparation se met à bouillir, laisser cuire en couvrant 30 mn à feu doux.
Mixer le tout. Servir chaud.

HOUMOUS

Les pois chiches, vous les connaissez en salade, dans le couscous et certainement au détour d’un apéro, sous forme de purée… Voici le houmous, une recette végétarienne pour épater vos ami.e.s !

Ingrédients

Pour 10 personnes. Temps de préparation : 15 minutes.

Mixez tous les ingrédients au mixeur, jusqu’à obtenir une consistance lisse.

RILLETTES DE POISSON

Ultra rapides à préparer et pour changer des rillettes classiques, voici les rillettes de poisson ! Deux versions : thon ou sardine.

RILLETTES DE THON

Ingrédients

Pour 4 personnes. Temps de préparation : 15 minutes.

Égoutter le thon et l’émietter à la fourchette. Ajouter dans l’ordre les petits suisses ou carré frais, le fromage blanc, la moutarde, le jus de citron, le basilic, sel et poivre. Mélanger.

Placer au frigo au moins une demi-heure et saupoudrer de paprika au moment de servir.

Vous préférez le goût de la sardine ?

RILLETTES DE SARDINES (AIL, OIGNON)

Ingrédients (pour 6 personnes) :

Pour 6 personnes. Temps de préparation : 10 minutes.

Épluchez les oignons et coupez-les en 6.

Épluchez les gousses d’ail, débarrassez-les de leur germe. Dans un mixeur, disposez l’oignon l’ail, les sardines égouttées débarrassées de leur arête centrale, les feuilles de basilic et de menthe et enfin le fromage frais.

Salez, poivrez et mixez jusqu’à l’obtention d’une pâte tartinable.

Mettez au frais 1 heure avant de servir. Accompagnez de quelques tomates en salade.

*Certaines de ces recettes étant composées d’aliments riches en vitamine D (sardines, thon, fromage…), il est possible de remplacer le fromage blanc ou le yaourt par du fromage blanc/yaourt à 0% de matières grasses (MG) pour alléger ces recettes.

Toutes ces recettes peuvent se servir avec du pain de seigle/complet en tranche ou des bâtonnets de légumes (carottes, concombre, navet, chou-fleur, champignons crus…)

CAVIAR D’AUBERGINE ET D’ARTICHAUDS

Découvrez des caviars de légumes parfaits pour vos apéros dînatoires cet été !

CAVIAR D’AUBERGINE

Ingrédients :

Pour 4 personnes. Temps de préparation : 15 minutes.

Couper l’aubergine en dés, le poivron en lamelle et la tomate en quartier. Mettre l’ensemble dans un plat allant au four et faire cuire 30 à 45 minutes, 180°C.

Peler l’ail et le couper grossièrement.

Quand les légumes sont cuits, peler le poivron et la tomate. Ajouter les huiles, le jus de citron, l’ail, sel et poivre et mixer.

CAVIAR D’ARTICHAUTS

Ingrédients :

Pour 6 personnes. Temps de préparation : 10 minutes. Temps de cuisson : 10 minutes

Faites cuire les fonds d’artichaut pendant 10 min; égouttez-les bien. Placez-les dans un mixeur avec l’huile d’olive, l’ail, le jus du demi- citron, le parmesan, le sel et le poivre.

CRÊPES SALÉES AUX LENTILLES

Voici une autre délicieuse façon d’accommoder les lentilles… Merci à mon amie Cécyle JUNG qui m’a transmis cette recette.

Ingrédients :
Pour 4 à 6 personnes. Temps de préparation : 35 minutes. Temps de cuisson : 30-40 minutes
Pour le mélange de lentilles :

Pour la pâte à crêpes :

Préparation :
Dans une casserole, mettre les lentilles et 2 verres d’eau (soit deux fois le volume de lentilles).
Mettre à chauffer.
Ajouter le sel, les épices et aromates et la tomate épluchée et découpée en cube
Quand le mélange arrive à ébullition, couvrir et cuire à feu doux jusqu’à ce que les lentilles aient absorbé l’eau et soient cuites (20 à 30 min).
Laisser refroidir couvert.

Faire la pâte à crêpes. Mélanger la farine et l’œuf puis ajouter le lait petit à petit en remuant bien pour éviter les grumeaux. Ajouter le sel et la cuillère d’huile.

Quand les lentilles sont froides, enlever le laurier et le thym. Les mixer. Et incorporer la purée à la pâte à crêpes.

Faire les crêpes dans une petite poêle très chaude (la première sera forcément ratée !).

On peut ajouter également quelques graines : pignons de pin, graines de lin, de sésame ou autres !

NB : On peut aussi manger les lentilles telles quelles. J’ajoute parfois une carotte, un peu d’oignon, de la coriandre fraîche. Elles sont très bonnes froides avec des crudités. Ou chaudes, avec un légume vert.

Source : Cécyle Jung


Activités :
Rééquilibrage alimentaire et Perte de poids
Suivi nutritionnel des sportifs (Diplômée en nutrition du sportif)
Prise en charge du diabète et de l’hypercholestérolémie
Point sur les intolérances et les allergies (gluten, lait, soja…)
Conseils sur l’alimentation pendant et après la grossesse
Conseils nutritionnels pour un régime végétarien/végétalien

Prise en charge des patients hommes et femmes, sportif(ve)s, enfants, adolescents, personnes âgées.